Les sports à composante dynamique forte
La gymnastique, le trampoline, l’aérobic, l’athlétisme (sauts), les sports de balle, la danse (avec sauts), la course à pied, les sports de glace et la corde à sauter sont des sports à catégorie plus risquée. Dans la plupart des cas, ce sont des sports à arrêter lors du premier trimestre.
Les sports à isométrique forte
Dans cette catégorie, on retrouve les sports qui impliquent des contractions isométriques, c’est-à-dire des contractions musculaires où la longueur du muscle ne change pas alors que la force développée par le muscle augmente. Les sports suivants en font partie : l’athlétisme, l’aviron, l’escrime, l’haltérophilie, la lutte, la boxe, le judo, la planche à voile et l’équitation (trot).
Les sports à faible risque
Ce sont des sports techniques tels que la natation et le golf, ainsi que des activités telles que la marche et le cyclisme, où la respiration peut être contrôlée. Cette liste a été définie par l’INSEP, mais ce qu’il faut retenir avant tout est que maintenir une activité sportive pendant la grossesse est bénéfique, il suffit simplement de l’adapter.
Les sports interdits
Cependant, il existe des sports qui sont à proscrire et qui sont incompatibles avec la grossesse. La plongée sous-marine est déconseillée en raison de la pression exercée sur le corps, ce qui peut entraîner des risques pour la santé.
On parle souvent aussi des sports de montagne, comme le ski, en raison du risque de chutes, mais aussi en raison de l’altitude. Toutefois, cela diffère d’une personne à l’autre. Une femme qui vit à la montagne n’aura pas nécessairement cette contrainte.
Il est important de retenir qu’il est recommandé de parler de votre activité sportive à une personne compétente pour savoir comment vous pouvez l’adapter au mieux pour vous et votre bébé.